7 juillet 2012
Ce sillon que tu traces, mon fils...
L'an dernier, ta peine était trop vive, et les jours ont glissé comme la pluie sur les feuilles, noyant tes 16 ans dans un maelström d'émotions. Je ne garde moi-même que peu de souvenirs précis de cette période balayée par les larmes. Il me faudra donc...